Municipales à Marseille. Mise au point du candidat LREM Yvon Berland: « Marseille j’y passe ma vie, j’y réside, je suis inscrit sur les listes électorales du 8e arrondissement… »

Publié le 22 janvier 2020 à  9h48 - Dernière mise à  jour le 1 décembre 2022 à  12h30

(Photo Robert Poulain)
(Photo Robert Poulain)
Yvon Berland, candidat de la société civile à la mairie de Marseille, soutenu par La République En Marche déclare dans un communiqué : «Depuis quelques jours, des affiches de ma campagne électorale qui habillent les emplacements dédiés à cet effet ont été recouvertes par des bandeaux fallacieux prétendant que je n’habite pas à Marseille. Je tiens ici à exprimer ma plus vive indignation face à ce mensonge éhonté et ce procédé d’un autre temps qui ne rehausse pas la vie politique et ne fait pas honneur au débat démocratique que nous devons offrir aux Marseillais. Le 14 janvier dernier, j’ai proposé à l’ensemble des candidats de signer à mes côtés une charte éthique afin de garantir à nos concitoyens une campagne électorale libre, équitable et transparente, respectant scrupuleusement les règles et les valeurs de la République. Si certains candidats semblent ne pas vouloir s’y résoudre, je tiens en revanche pour ma part -ainsi que pour l’ensemble de mes têtes de liste- à conduire une campagne éthique, où le débat de fond prime sur les abjections et les ignominies politiciennes. Jamais, mon équipe et moi-même nous nous abaisserons à délaisser les idées et les projets au profit des attaques personnelles et des propos diffamatoires. Ce n’est pas l’idée que je me fais de la vie politique et, j’en suis convaincu, ce n’est pas la campagne électorale à laquelle aspirent les Marseillais. Marseille est la ville où je suis né, où j’ai grandi, où j’ai effectué toutes mes études, primaires, secondaires et supérieures. J’y ai accompli toute ma carrière de professeur de médecine. J’y ai été président du SMUC, doyen de la Faculté de médecine, puis président d’université à une époque où les 3 universités du territoire était encore divisées. Je les ai unifiées pour construire la plus grande université francophone du monde. J’y exerce encore la médecine. Marseille est en moi, j’y passe ma vie, j’y réside, je suis inscrit sur les listes électorales du 8e arrondissement. Cette ville coule dans mes veines, c’est même pour cela que j’ai décidé de m’engager.»

Articles similaires

Aller au contenu principal