Entretien : François Hommeril président de la CFE-CGC : « une régression néolibérale qui crée de la souffrance »

Publié le 4 décembre 2016 à  20h59 - Dernière mise à  jour le 28 octobre 2022 à  15h45

François Hommeril, Président national CFE-CGC, en visite à Marseille est ici entouré de Daniel Petrucci Président de l’Union Régionale CFE-CGC Provence-Alpes-Côte d’Azur et Régis Dos Santos Président de la Fédération CFE-CGC des Métiers de la Banque et de la Finance (Photo M.B.)
François Hommeril, Président national CFE-CGC, en visite à Marseille est ici entouré de Daniel Petrucci Président de l’Union Régionale CFE-CGC Provence-Alpes-Côte d’Azur et Régis Dos Santos Président de la Fédération CFE-CGC des Métiers de la Banque et de la Finance (Photo M.B.)
son_copie_petit-70.jpgEn visite à Marseille, François Hommeril, élu en juin 2016 président de la La Confédération Française de l’Encadrement CGC au congrès de Lyon, répond aux questions de Destimed. Au micro de Mireille Bianciotto, il rappelle son «opposition» à la loi El Khomri (loi travail), en explique les raisons. Revient sur la victoire de François Fillon à la primaire de la droite, son programme. Considérant qu’il n’est pas «à un paradoxe près…» et fustige son discours sur le «dialogue social». En tant qu’organisation syndicale, il parle aujourd’hui d’un contexte «de régression néolibérale» qui propose, selon lui, comme seule «incarnation du progrès social» que «chacun devrait souffrir un peu plus». Parlant ainsi «d’une flexibilité qui crée de la souffrance et de la moins-value économique». Il souhaite que «les gouvernements reviennent dans le champ de l’équilibre entre le social et l’économie». François Hommeril s’inscrivant dans «la croissance pour tous»… .hommeril.mp3

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