Eugène Caselli revient sur l’enquête de l’OCDE à propos de la métropole Aix-Marseille-Provence

Publié le 6 décembre 2013 à  16h29 - Dernière mise à  jour le 27 octobre 2022 à  17h10

img_6326.jpgEugène Caselli, président de la Communauté urbaine Marseille Provence métropole (MPM) estime que l’enquête menée par l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) sur la métropole Aix-Marseille-Provence apporte « un éclairage encourageant qui permet de poursuivre notre travail en confiance ».
« A quinze jours de la deuxième conférence métropolitaine qui doit réunir tous les élus du territoire pour porter d’une même voix le chantier de la future métropole Aix Marseille Provence, l’étude de l’OCDE présentée ce jeudi à Marseille, dans le cadre de la réunion du Comité des politiques de développement territorial, en présence de la ministre de la Réforme de l’Etat, Marylise Lebranchu, apporte un éclairage encourageant sur l’agglomération marseillaise et permet de poursuivre notre travail en confiance. Si l’étude pointe les aspects inégalitaires et fragmentés du territoire, qui freinent son développement et ne peuvent être surmontés que dans le cadre d’une stratégie métropolitaine pour laquelle j’œuvre sans relâche, elle valorise aussi sa capacité de résistance à la crise et son positionnement fort en matière d’innovation. », poursuit-il.
Selon l’OCDE, ajoute-t-il: « Aix-Marseille-Provence a enregistré la deuxième plus forte croissance de l’emploi en Europe entre 2000 et 2012. La métropole marseillaise est également en 40e position des villes les plus innovantes devant Milan, Barcelone ou Rotterdam. Un secteur où la communauté urbaine Marseille Provence Métropole n’a pas manqué d’investir en priorité. »
L’enquête révèle également que sur le plan de l’attractivité économique la métropole Aix Marseille Provence est en deuxième position après Lyon. Elle est également au 2e rang pour son dynamisme parmi 114 agglomérations européennes.
« Des atouts considérables qui, pour les experts européens, rédacteurs de cette étude, ne peuvent être réellement porteurs qu’à la condition d’une entité métropolitaine partagée, dotée d’une vision stratégique, pourvue d’une « marque » pour la promouvoir à l’international et surtout ouverte à l’ensemble de la société civile. Une conclusion dont je ne peux que me féliciter car tels ont toujours été mon engagement et ma conviction. »

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