Marseille: Emmanuelle Cosse rencontre les associations de lutte contre l’exclusion et le mal logement

Publié le 17 septembre 2016 à  20h00 - Dernière mise à  jour le 28 octobre 2022 à  15h35

Emmanuelle Cosse, ministre du Logement accompagnée du préfet Stéphane Bouillon a rencontré les associations de lutte contre l'exclusion et le mal logement (Photo Mireille Bianciotto)
Emmanuelle Cosse, ministre du Logement accompagnée du préfet Stéphane Bouillon a rencontré les associations de lutte contre l’exclusion et le mal logement (Photo Mireille Bianciotto)
Au terme d’une visite protocolaire à Marseille, Emmanuelle Cosse, ministre du Logement et de l’Habitat durable a rencontré un collectif d’associations de lutte contre l’exclusion et le mal logement. son_copie_petit-18.jpgFathi Bouaroua, Délégué régional de la Fondation Abbé Pierre s’est défendu d’être dans la simple protestation ou la condamnation. Il a mis en exergue deux problèmes inhérents à l’aide d’urgence à Marseille et plus largement dans un département des Bouches-du-Rhône qui, selon lui est en «situation de grande misère»
Fathi Bouaroua, Délégué régional de la Fondation Abbé Pierre (Photo Patricia Maillé-Caire)
Fathi Bouaroua, Délégué régional de la Fondation Abbé Pierre (Photo Patricia Maillé-Caire)
fathi_converti.mp3 son_copie_petit-18.jpgEmmanuelle Cosse s’est entretenue avec plusieurs responsables d’associations et répondu à nombre de questions de la presse cosse_1_converti.mp3 son_copie_petit-18.jpgEnfin, elle a répondu par presse interposée à Christian Estrosi, Président LR de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur qui indiquait dans un communiqué « Non à la création de micro jungles de Calais au cœur de nos régions ». Considérant: «Impuissant à démanteler la jungle de Calais, le gouvernement entend-il disséminer les migrants en transit dans nos régions ? Cela ne reviendrait à rien d’autre qu’à déplacer le problème et, au final, à créer au cœur de nos régions autant de micro « jungles de Calais ». En échec depuis presque cinq ans en matière d’immigration, ayant en particulier laissé le nombre de migrants à Calais passer de moins d’un millier en 2012 à plus 10.000 aujourd’hui, rien n’autorise ce gouvernement, à quelques mois de l’échéance présidentielle, à jouer aux apprentis sorciers» cosse_2_estrosi_calais_converti.mp3 Reportage Mireille BIANCIOTTO

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