Marseille: La mission sénatoriale sur le redressement de la justice s’est rendue aux Baumettes et au Tribunal

Publié le 12 novembre 2016 à  15h04 - Dernière mise à  jour le 28 octobre 2022 à  15h41

Jacques Bigot, sénateur PS du Bas Rhin et Philippe Bas sénateur LR de la Manche et Président de la Mission sénatoriale (Photo M.B.)
Jacques Bigot, sénateur PS du Bas Rhin et Philippe Bas sénateur LR de la Manche et Président de la Mission sénatoriale (Photo M.B.)
La Commission des lois du Sénat a lancé en juillet 2016 une mission d’information pluri-partisane de 6 mois, présidée par Philippe Bas, sur le redressement de la justice. Son objectif est d’établir un diagnostic sur l’état de la justice en France et de dessiner, à partir de ce diagnostic, les voies du redressement de cette institution. La mission s’est donnée trois axes de travail: l’organisation des Tribunaux, le traitement de la surpopulation carcérale et la simplification des procédures de justice. A Marseille, les sénateurs ont d’abord visité le centre pénitentiaire des Baumettes puis le Tribunal afin d’y rencontrer les magistrats, les avocats et les personnels. son_copie_petit-59.jpgPhilippe Bas, sénateur LR de la Manche et Président de la Mission, revient sur le cadre de cette mission puis commente son déplacement à Marseille. senateurs_bas_1_convert.mp3 son_copie_petit-59.jpgPhilippe Bas rappelle que le budget de la Justice est passé en 10 ans de 6 milliards à 8 milliards d’euros, considérant : « Il n’est donc pas possible de dire que ce budget n’a pas augmenté mais, …» bas_2_converti.mp3 son_copie_petit-59.jpgJacques Bigot, sénateur PS du Bas Rhin met en exergue cette mission sénatoriale pluri-partisane «une forme de consensus national sur les politiques de la Justice comme il peut y en avoir dans le domaine de la Défense» jacques_bigot_converti.mp3 son_copie_petit-59.jpgEnfin, Isabelle Fernandez, greffière d’une chambre correctionnelle a été reçue par les sénateurs au titre de son mandat syndical UNSA Services Judiciaires, majoritaire chez les fonctionnaires de justice. Elle regrette, pour ceux qu’elle appelle «l’armée de l’ombre» ou «encore les garants de la procédure» : «On a eu 5 minutes par organisation syndicale pour faire des propositions pour redresser la justice». isabelle_fernandez_unsa_justice.mp3

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