Publié le 29 juillet 2019 à 12h16 - Dernière mise à jour le 29 octobre 2022 à 12h06
Le jeune champion français Issam, alias «Kouto» et son équipe composée de 4 joueurs étrangers sont devenus ce week-end à New York, vice-champion du Monde Fortnite sur le mode créatif dors de la Worldcup. Une très belle performance pour la structure eSport marseillaise MCES qui a dignement représenté l’esport français avec cette incroyable visibilité. En ouverture de la compétition, et devant les 20 000 spectateurs déchaînés de l’Arthur Ashe Stadium, les 32 meilleurs joueurs du monde s’étaient donnés rendez-vous sur le mode créatif de Fortnite, l’un des 3 tournois de cette Coupe du Monde, avec à la clé plus de 3 250 000 $ de prize pool.
Après plus de 3 heures de compétition, le français «Kouto», âgé de 23 ans et membre de MCES, est devenu le premier vice-champion du Monde Fortnite en créatif de l’histoire et remporte 86 250$. Une performance historique pour ce joueur au jeu spectaculaire et au profil atypique : «Je suis fier de mon parcours, finir 2e dans un mode que je ne pratiquais pas il y encore quelques mois, c’est magnifique. Je dédie cette victoire, car c’est une victoire pour moi, à ma mère». «Après le titre de champion du monde de l’@efootdefrance, c’est au tour d’Issam de faire briller la France au niveau mondial de l’eSport en devenant vice-champion du monde de Fornite ! Bravo Kouto pour cette belle performance à la Fortnite Worldcup», a félicité sur Twitter ce dimanche Cedric O, Secrétaire D’état au Numérique. Un week-end qui marque une fin saison incroyable pour la Team MCES qui s’est également qualifiée, hier, en battant les équipes brésiliennes et coréennes pour la Finale du Championnat du monde sur Clash Of Clans. Cette Finale aura lieu du 25 au 27 octobre à Hambourg réunissant 8 des meilleurs équipes du monde. Demain Mardi, dans les Play Off de la Ligue Française League of Legends, MCES affronte Vitality au meilleur des 5 manches pour une place en finale du Championnat de France LOL et une qualification en «Ligue Europa».
La rédaction