Publié le 19 septembre 2019 à 10h25 - Dernière mise à jour le 29 octobre 2022 à 12h31
A «quelques» encablures de la Coupe du monde de rugby, pastis 51 (pour 1951 date de sa création) prouve une nouvelle fois que 51 n’est jamais qu’un 15 à l’envers, en effet après une édition limitée Serge Blanco en 2007, la marque vient de faire appel à l’ex-international Cédric Soulette qui, une fois sa carrière terminée, c’est tourné vers l’art et, tout particulièrement le coq lui qui, entre 1997 et 1999 l’a fièrement porté sur son cœur en équipe de France. «Pour moi ce coq est fédérateur, il est le symbole d’une France généreuse, innovante, rassembleuse, belle en un mot». Et, fière de ses origines françaises, pastis 51 a décidé de faire appel à cet artiste pour une édition limitée, 100 000 bouteilles et 140 000 magnums ainsi que des verres et des polos. L’artiste reprend: «Pernod m’a demandé de travailler sur l’idée de fraîcheur et de proposer un dessin pouvant aller sur des étiquettes. Ce qui m’a obligé de changer ma façon de travailler. Habituellement, je réalise un coq géant, deux mètres, en fibre de verre, aluminium ou bronze. Puis, à partir de là, je réalise des miniatures, là j’ai dû faire l’inverse pour être sûr d’être visible sur 7 centimètres. Et je dois avouer ma fierté de pouvoir, ainsi entrer chez de très nombreux Français». Et le grand coq alors? il trône sur la terrasse du Club Pernod, sur la Canebière, d’où il contemple le Vieux-Port, la Méditerranée. Bref, avec Pernod, ce n’est pas en vin que le coq passe à l’anis, il en devient même étoilé.
Michel CAIRE
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