Publié le 19 mars 2022 à 17h10 - Dernière mise à jour le 4 novembre 2022 à 18h38
Dans le cadre de la semaine de lutte contre les discriminations, le Collectif Paca pour la Mémoire de l’Esclavage (CPPME) organise du Nord au Sud de la ville de Marseille deux événements les 19 et 25 mars.
Le Collectif Paca pour la Mémoire de l’Esclavage (CPPME) assoit son action sur la date officielle du 10 mai, qui à son sens, équivaut à une reconnaissance de ces deux crimes contre l’humanité que sont l’esclavage et les traites négrières. Le CPMME est particulièrement attaché au caractère non lucratif conforme à l’éthique que requiert l’enseignement de cette histoire « qui n’est pas à vendre ».
Le collectif Paca pour le Mémoire de l’Esclavage est une organisation qui regroupe des associations et de particuliers. En charge avec les autorités de l’organisation des journées officielles du 10 mai journée nationale des mémoires de la traite négrière, de l’esclavage et de leurs abolitions, et depuis 2018 du 23 mai journée nationale en hommages aux victimes de l’esclavage.
Ainsi, dans le cadre de la semaine de lutte contre les discriminations, le Collectif Provence-Alpes-Côte d’Azur organise deux événements. Du Vernissage de l’exposition « En Finir avec la traite, en finir avec l’esclavage» le samedi 19 mars 2022 à la Maison Départementale de la lutte contre les Discriminations, exposée jusqu’au 02 avril 2022. Et le vendredi 25 mars journée internationale en hommage aux victimes
de l’esclavage et de la traite transatlantique, instituée par la résolution 62/122 de l’ONU en date du 17 décembre 2007. Une exposition et démonstrations artistiques se tiendra le vendredi 25 mars à la Maison Municipale de la Calade 13015 Marseille.
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Le Collectif Paca pour la mémoire de l’Esclavage
Le Collectif Paca pour la Mémoire de l’Esclavage (CPPME) est une association loi 1901 créée en mars 2008 à Marseille, qui rassemble en son sein des personnes physiques et morales, bénévoles, désireuses de transmettre l »histoire des traites négrières , de l’esclavage et de leurs abolitions, œuvrant ainsi dans la lignée de la « loi Taubira » promulguée en 2001, et du Comité pour la Mémoire de l’Esclavage institué en 2004.)]
