Publié le 20 mai 2014 à 23h30 - Dernière mise à jour le 27 octobre 2022 à 17h51
Une dizaine de jours après le concert symphonique au profit du microentreprenariat au Moyen-Orient organisé par la Fondation PlaNet Finance, s’est tenu un nouveau gala, en marge du Festival de Cannes.
A l’occasion de cet événement prestigieux placé sous le signe du glamour et de la solidarité, l’actrice Aïssa Maïga a endossé le rôle de Maîtresse de Soirée aux côtés de Jacques Attali, Président du Groupe PlaNet Finance.
Touchée par la cause du microentrepranariat et sensible aux projets développés par la Fondation PlaNet Finance, Aïssa Maïga s’est investie depuis l’an dernier en tant qu’Ambassadrice. Également engagée depuis avril 2013, l’auteur et réalisatrice Marjane Satrapi a participé à cette édition en tant que Marraine Invitée d’Honneur. Pour sa première mobilisation, elle est venue témoigner de son engagement pour la cause du microentreprenariat féminin.
De nombreuses personnalités étaient présentes au rang desquelles Carole Bouquet, engagée dans l’association la Voix de l’enfant et membre du jury du Festival ; Sonia Rolland, dont l’association (Maïsha Africa) vient en aide aux enfants orphelins du génocide des Tutsi au Rwanda depuis 2001 et qui s’est illustrée lors de la projection de l’œuvre du réalisateur mauritanien, Abderrahmane Sissako, Timbuktu; ou encore l’actrice Charlotte Gabris Babysitting…
La Fondation PlaNet Finance a réuni environ 200 convives dans l’enceinte de l’hôtel Intercontinental Carlton. Grâce à une vente aux enchères de prestige, la Fondation a tenté de récolter 200 000 euros, somme qui servira à l’accompagnement de 3 000 jeunes microentrepreneurs au Liban, en Égypte et dans les Territoires palestiniens dans la création de leur microentreprise grâce à l’accès à des formations professionnelles et des services financiers adaptés.
La Fondation
Première Fondation reconnue d’utilité publique dédiée au microentreprenariat, sa raison d’être est de lutter contre la pauvreté. La Fondation aide les populations pauvres, exclues du système bancaire, à développer leur activité de manière autonome. 74 % des microentrepreneurs sont des femmes qui luttent chaque jour pour vivre dans la dignité et pouvoir subvenir aux besoins de leur famille.