Publié le 24 août 2013 à 20h29 - Dernière mise à jour le 1 décembre 2022 à 15h48
« L’expérience de cette édition radicalement noire et blanche, le talent et la générosité des artistes et des commissaires, le dynamisme de l’équipe des Rencontres et le soutien des partenaires publics et privés, rendent Arles incontournable en cette année où la Provence est capitale européenne de la culture. », indique François Hébel, directeur des Rencontres d’Arles.
Comme chaque année depuis 44 ans, Arles, haut lieu de la culture photographique accueille des professionnels et amateurs d’art du monde entier.
Avec plus de vingt espaces, cinquante expositions, une cinquantaine de stages et des soirées de projections, le festival propose pour sa 44e édition, un parcours photographique radicalement en noir et blanc, jusqu’au 22 septembre. Depuis le 1er juillet Arles est donc « in Black ». « Ce choix audacieux, fidèle à l’esprit du festival, est motivé par la volonté de faire un état des lieux de la création photographique en noir et blanc au XXIe siècle. A l’heure où la couleur domine et où l’on s’interroge sur la profonde mutation de cet art liée à l’arrivée du numérique, force est de constater que le noir et blanc reste toujours bien présent dans la création contemporaine. » Quelle est donc sa place aujourd’hui ? Les Rencontres d’Arles 2013 sont placées sous le signe de la (re)découverte : nouveaux talents, créations inédites et trésors du passé.
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