Marseille : le Hard Rock Café dans les starting-blocks

Publié le 30 novembre 2014 à  23h28 - Dernière mise à  jour le 29 octobre 2022 à  13h44

(Photo Robert Poulain)
(Photo Robert Poulain)
(Photo Robert Poulain)
(Photo Robert Poulain)
Le célèbre luthier Alain Aventini et le propriétaire-franchisé des lieux, Yves Pleindoux (Photo Robert Poulain)
Le célèbre luthier Alain Aventini et le propriétaire-franchisé des lieux, Yves Pleindoux (Photo Robert Poulain)
La Guitar’dine fin prête à être exposée (Photo Robert Poulain)
La Guitar’dine fin prête à être exposée (Photo Robert Poulain)
La scène du Hard rock café (Photo Robert Poulain)
La scène du Hard rock café (Photo Robert Poulain)
La célèbre cape noire de Keith Richards (Photo Robert Poulain)
La célèbre cape noire de Keith Richards (Photo Robert Poulain)
(Photo Robert Poulain)
(Photo Robert Poulain)

C’est un véritable coup de maître que les propriétaires du Hard Rock Café ont réussi dans cet ancien parking du cours d’Estienne d’Orves. En quelques mois de travaux l’espace a connu une métamorphose qui laisse pantois. Les structures initiales comme annoncées, poutres, voûtes, pierres apparentes ont été conservées et design, nouvelles technologies se sont invités dans ce lieu chargé d’histoire. Ambiance feutrée et rock se sont épousés pour le meilleur et le meilleur. Quant à la date d’ouverture, le propriétaire-franchisé des lieux, Yves Pleindoux, qui est Marseillais d’avancer: «La promesse que l’on a faite à Marseille d’offrir cet établissement de classe internationale avant la fin de l’année est tenue». Et c’est ce dimanche 30 novembre à 19h30 que l’établissement ouvre ses portes.
Une ultime visite avant cette ouverture a permis de découvrir les 152 pièces de la fameuse Memorabilia, marque de fabrique du Café. Cette collection d’objets cultes, ayant appartenu aux légendes internationales de la musique d’hier et d’aujourd’hui, ont trouvé place sur tous les murs, coins et recoins. Guitares de Bon Jovi, de Sting, chemise de Michael Jackson, tenue de scène de Rihanna, un top noir transparent de Madonna, la cape noire de Keith Richards… disques de platine et d’or, pochettes d’albums, photos, autant de curiosités laissées à la postérité. Sans oublier «la Guitare Sardine» alias «Guitar’dine» façonnée spécialement pour HRC par le luthier marseillais Alain Aventini. Entièrement réalisée à la main «avec un soin particulier apporté au choix des meilleurs matériaux pour obtenir l’équilibre parfait entre acoustique et esthétique. Des bois nobles comme l’érable pour le manche, les repères de touche sont en turquoises et le corps en aulne est recouvert d’écailles sequins vernies», explique-t-il. Et, le son qui est sorti de la Guitar’dine a laissé un goût amer quand elle a été enfermée dans une boîte vitrine pour y être exposée. Mais, nous a-t-on affirmé: «Elle sera ressortie pour les grandes occasions.» Quand?… En ce qui concerne l’espace dédié à nos artistes locaux (français) où a été déposée la Guitar’dine, seul «abandonné», un disque d’or de Johnny Hallyday est exposé, «d’autres pièces, a-t-il été assuré, viendront bientôt l’enrichir».
Le Hard Rock Café, so Provencing a de beaux jours devant lui.
Patricia MAILLE-CAIRE

Diaporama Robert Poulain

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