Publié le 30 janvier 2014 à 21h59 - Dernière mise à jour le 1 décembre 2022 à 15h43
Dans un communiqué, la Ville de Marseille souhaite apporter quelques précisions concernant le projet de centre de bien-être intégré au Pavillon du Lac, au cœur du Parc Borély.
« Lors du Conseil Municipal du 9 décembre 2013, une convention d’occupation du Pavillon du Lac, dont la ville de Marseille est propriétaire, a été votée dans l’objectif de redonner vie au Pavillon et par là même à l’ensemble du site.
Cette convention, qui est une procédure totalement conforme à la loi, prévoit l’aménagement de ce lieu de détente et de loisirs, qui accueillait un bar glacier proposant une restauration légère.
Depuis plusieurs années, cet ensemble immobilier est inoccupé et subit les dégradations dues à l’écoulement du temps. Aujourd’hui, d’importants travaux de rénovation sont nécessaires à sa réhabilitation.
La SAS « La compagnie des Bains de Mer » a proposé à la ville de Marseille un projet offrant un nouvel usage au pavillon, comprenant la réalisation et l’exploitation d’un centre de bien-être, sportif et de remise en forme, ainsi qu’un espace de restauration, en prenant à sa charge les travaux de rénovation nécessaires.
Le projet proposé s’inscrit dans une démarche de réhabilitation du Pavillon du Lac, lieu emblématique du parc Borély.
Tenant compte de la qualité d’un projet en adéquation avec ses attentes de revalorisation du site, la Municipalité a décidé d’accorder à la société « La compagnie des Bains de Mer de Marseille » une autorisation dʼoccupation temporaire du domaine public, pour une durée de 15 ans, dans le cadre d’une convention précisant les conditions financières et techniques de l’exploitation de l’ensemble.
Le montant des travaux de mise en conformité et d’aménagement, que la société « La compagnie des Bains de Mer de Marseille » s’engage à réaliser, a été estimé à environ 600 000 euros. Quant à la redevance annuelle afférente à cette mise à disposition, elle a été fixée à 25 000 euros. Pour information, lʼavis de France Domaine, tutelle de la Ville, était de 11 000 euro par an.Cette solution respecte en plus les horaires d’ouverture et de fermeture du Parc Borély.
La ville également de souligner qu’a sa connaissance: « Frédérick Bousquet nʼest concerné en aucune manière par cette convention« .