Publié le 30 septembre 2017 à 20h03 - Dernière mise à jour le 1 décembre 2022 à 15h05
Le gouvernement espagnol a annoncé, ce samedi 30 septembre, avoir mis sous scellés 1 300 bureaux de vote sur les 2 315 prévus. Le représentant du gouvernement espagnol en Catalogne a précisé que 163 de ces bureaux sous scellés étaient occupés par des activistes, qui ont le droit de sortir, mais que personne n’avait plus le droit d’y pénétrer. Le président séparatiste catalan souhaite une « médiation ». « Nous n’allons pas renoncer à nos droits« , a déclaré Carles Puidgemont, défendant toujours la tenue du référendum malgré la désapprobation de Madrid. Et d’ajouter : « Nous devons exprimer une volonté claire de disposer d’une médiation quel que soit le scénario, que le oui l’emporte ou le non. »