Publié le 12 septembre 2018 à 18h21 - Dernière mise à jour le 1 décembre 2022 à 14h55
C’est la première fois que le Parlement européen use de son droit d’initiative pour demander au Conseil (les États membres) de se prononcer sur la situation de l’État de droit d’un pays membre. La résolution, adoptée par 448 voix favorables et 197 contre (48 abstentions), liste les multiples violations de la démocratie et des droits de l’Homme constatées par les institutions européennes depuis l’arrivée au pouvoir du Fidesz, le parti du Premier ministre, Viktor Orban. Ces violations concernent notamment l’indépendance de la justice, de la liberté des médias, de la liberté académique ou du sort fait aux migrants et à ceux qui leur portent assistance…