Publié le 10 juillet 2018 à 23h30 - Dernière mise à jour le 28 octobre 2022 à 18h53
Le secrétaire d’État au numérique, Mounir Mahjoubi, qui a délocalisé son cabinet, 3 jours durant, à thecamp, à Aix-en-Provence, s’est rendu ce mardi 10 juillet à la Friche Belle de Mai, au Centre de Création des Arts et des Cultures numériques, Zinc et, au Lab Zéro puis, toujours à Marseille, à Interxion, hub d’interconnexion des entreprises leaders dans le monde.
Le secrétaire d’État au numérique, Mounir Mahjoubi a tenu à préciser «l’importance d’Interxion» et notamment «des grandes infrastructures basses d’Internet» sans qui il n’y aurait «pas de services publics numériques», «pas de services numériques privés». Insiste sur les raisons de choisir la France «parce qu’une fois que l’on dit oui, on respecte nos engagements; une fois que l’on dit que notre système de régulation et de protection est durable, on respecte les choses. On ne fait pas du jour au lendemain des ordres présidentiels qui changeraient le droit à la sécurité de ces réseaux et le droit d’accès à ces réseaux, ce qui est arrivé sur d’autres continents». Précise que la «responsabilité administrative» de l’État est de faciliter les arrivées d’investisseurs étrangers et de traiter «les questions d’impact, économiques, environnementales ou sociales»… Et à la question sur une coopération dans ce domaine avec l’Afrique, Mounir Mahjoubi a répondu trois fois oui… Entretien.
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Propos recueillis par Mireille BIANCIOTTO
Mounir Mahjoubi est également intervenu dans le cadre du Forum du numérique qui s’est tenu au Pharo. Destimed reviendra ultérieurement sur ce dossier
