Envie épicurieuse à Jouques : dégustation au sommet en bonheur majeur

Publié le 1 juin 2014 à  22h50 - Dernière mise à  jour le 27 octobre 2022 à  17h51

Les participants à cette troisième édition d'envie épicurieuse attentifs au propos du
Les participants à cette troisième édition d’envie épicurieuse attentifs au propos du

240 convives avaient répondu, ce 1er juin, à l’appel de cinq vignerons de Jouques, Rians et Esparron de Pallière : Peter Fischer, du Château Revelette, Christian Valensisi, du Domaine de la chapelle Saint-Bacchi, Sylvain Manson, du Mas Juliette, Pierre Michelland, du Domaine La Réaltière, Bengt Sundstrom et Philippe Bru son directeur, du Château Vignelaure, et de leurs copains Chefs Aixois Olivier Scola de Ze Bistro et Nicolas Monribot du Millefeuille. Un exceptionnel moment de convivialité qui débutait par une ascension jusqu’à la vigie de Vautubière, pour certains accompagnés par Xavier Nicolle, responsable du groupe de surveillance et d’accueil du grand site Sainte-Victoire. Une bonne heure de marche en famille ou entre amis sous un franc soleil avant de déguster vins rosés et blancs, eaux minérales et jus de fruits pour les enfants. Le tout accompagné des notes jazzy cuivrées du Syndicat du Chrome.
Au sommet de Vautubière, les vignerons ont tenu à rendre hommage à leurs épouses et compagnes, moment immortalisé par la photo (Photo M.E.)
Au sommet de Vautubière, les vignerons ont tenu à rendre hommage à leurs épouses et compagnes, moment immortalisé par la photo (Photo M.E.)

Un premier bon moment ponctué par la prise de parole des vignerons qui, unanimement, tenaient à rendre hommage à leurs épouses respectives. Il était temps d’entamer une descente toujours rythmée par la musique pour arriver au restaurant gastronomique en plein air où officiaient les deux chefs, Scola et Monribot, entourés par une escouade de marmitons dont certains affichaient en même temps bouteille et expérience.
A l’issue du service, les hommes et femmes de l’ombre qui ont travaillé en cuisine « de campagne » méritaient bien, eux aussi, une photo souvenir (Photo M.E.)
A l’issue du service, les hommes et femmes de l’ombre qui ont travaillé en cuisine « de campagne » méritaient bien, eux aussi, une photo souvenir (Photo M.E.)

Et là, miracle du savoir-faire et du professionnalisme, tant en cuisine qu’en salle, plus de 200 repas gastronomiques étaient servis de façon idéale. Trois plats, un fromage et un dessert pour réaliser des accords mets-vin, parfois étonnants, avec les cuvées élaborées par les cinq vignerons. Ce fut, comme écrit plus haut, un exceptionnel moment de convivialité, de joie, de partage qui, comme tous les bons moments, est passé trop vite. Mais en coulisses on parlait déjà de l’édition 2015. Et c’est tant mieux !

Michel EGEA

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