France 3 Provence-Alpes-Côte d’Azur : une matinale sous le signe de l’empathie, la proximité

Publié le 23 mai 2015 à  12h23 - Dernière mise à  jour le 27 octobre 2022 à  18h57

bus_marseille_100x83_rvb_okcopie.jpg
France 3 Provence-Alpes-Côte d’Azur ne cache pas sa satisfaction de voir son émission matinale de 10h15 donnant tuyaux, astuces et bons plans et présentée par Laurence Valtzer obtenir de bons résultats, à savoir un taux d’écoute entre 5 et 7% : «Ce qui nous place en troisième position au niveau de France 3, derrière Reims et Dijon qui ont proposé ce type d’émission bien avant nous», se réjouit Bruno le Dref, délégué régional de France 3 Provence-Alpes. Avant d’ajouter: «Ce rendez-vous de 26 minutes qui se veut 100% service et bonne humeur, a commencé en 2014 par un seul rendez-vous par semaine, le vendredi». Le succès est là. «L’émission devient quotidienne en janvier 2015, c’est à dire du lundi au vendredi, à l’exception du mercredi, réservé au jeune public». Pour lui :«Laurence Valtzer traduit bien l’état d’esprit que nous souhaitons : l’empathie, la proximité».
Et le public d’apprécier à un tel point que l’émission passera de 26 minutes à 52 minutes à partir de janvier 2016. Laurence Valtzer ne cache pas «avoir toujours le tract», pour lutter contre «Je travaille beaucoup, je prépare énormément mes entretiens, plus c’est travaillé et plus c’est naturel». «Pendant longtemps, précise-t-elle, j’étais derrière, je faisais des reportages ou je travaillais pour les autres et j’aimais cela». Mais, elle avoue: «J’ai un vrai plaisir avec cette émission : je rencontre de belles personnes, venant d’horizons les plus divers».
Preuve de cette diversité, ce vendredi 22 mai la présentatrice accueillait en plateau Claude Bossion, le fondateur de l’association Cinémémoire et Catherine Jeannin-Naltet, la présidente de la Grande Loge Féminine de France sans oublier un reportage décalé sur le Festival de Cannes, sous l’angle de la sécurité en hélicoptère.
Bruno le Dref reprend : «Cette émission c’est Télématin à notre sauce, c’est une télé d’accompagnement qui peut aussi s’écouter. Et le passage au format de 52 minutes nous permettra de proposer encore plus d’infos, de proximité, de services, d’avoir encore plus de chroniqueurs. Nous avons déjà une psychothérapeute, une personne qui apprend à faire des bouquets, des journalistes de chez nous interviennent aussi : sur les livres, le web, l’environnement. A la rentrée nous aurons aussi une avocate, nous développerons notre revue de presse et nous proposerons un flash info. Et nous poursuivrons bien sûr notre agenda des spectacles et des sorties». Une émission à découvrir pour ceux qui ne la connaîtrait pas encore.
Michel CAIRE

Articles similaires

Aller au contenu principal