Georges Benson et Meshell Ndegeocello ont clôturé, hier soir, le Festival jazz des cinq continents.

Publié le 28 juillet 2013 à  3h00 - Dernière mise à  jour le 27 octobre 2022 à  16h06

La 14e édition du Festival jazz des cinq continents qui s’est inscrite dans MP2013 a tiré, hier soir, sa révérence après 9 soirées portées par des artistes de très haut niveau dans les jardins du palais Longchamp. Neuf, en raison d’un orage qui avait décidé d’être aussi de la fête, le 18 juillet, privant ainsi le public des concerts de Chick Corea et Guillaume Perret & The Electric Epic. La canicule, qui s’est installée depuis, s’essaie à recréer ces bouillonnantes soirées mais elle n’apportera aucune âme car comme le disait Louis Armstrong : « Ce que nous jouons c’est la vie ».

P.M-C.

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Le jazzman George Benson, guitariste, chanteur, compositeur imprévisible sait tout jouer : jazz, soul, disco, funk. Ses inspirations viennent de ses nombreuses collaborations : Miles Davis, Herbie Hancock, Wes Montgomery ou encore Lonnie Smith. Avec 50 ans de carrière, plus de 30 enregistrements, une dizaine de Grammy Awards, George Benson a offert ses meilleurs titres au Festival en revisitant ses plus beaux albums de jazz.
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Meshell Ndegeocello dont la carrière affiche plus de 20 années a publié son 10e album Pour une âme souveraine, dans lequel il faut entendre une dédicace à Nina Simone, bien plus qu’un énième hommage. La chanteuse et bassiste a souligné par la grâce d’une poignée de classiques toute la fragilité de son aînée, toute la complexité de ce personnage, sa spiritualité.

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