Jacques Chanut succède à Didier Ridoret à la tête de la Fédération française du bâtiment et nomme Johan Bencivenga au Comité exécutif national

Publié le 18 juin 2014 à  21h24 - Dernière mise à  jour le 27 octobre 2022 à  17h54

Jacques Chanut, élu Président de la Fédération Française du Bâtiment  (Photo D.R)
Jacques Chanut, élu Président de la Fédération Française du Bâtiment (Photo D.R)
Jacques Chanut, élu Président de la Fédération Française du Bâtiment le 21 mars dernier, vient de succéder à Didier Ridoret lors du Congrès qui s’est tenu à Biarritz. Âgé de 49 ans, il est Président de l’entreprise de gros-œuvre Chanut Bâtiment SAS à Bourgoin-Jallieu (38) depuis 1996 et de l’entreprise Rainero à Voiron (38) depuis 2012.
Au cours de son intervention devant le Conseil d’Administration, Jacques Chanut a nommé les membres de son nouveau Comité exécutif avec lequel il travaillera aux orientations stratégiques de la Fédération en matière de lobbying et de fonctionnement interne pendant les trois années à venir. Johan Bencivenga, le Président de la Fédération du BTP 13, a été choisi pour siéger au Comité exécutif restreint de la FFB et assurer la présidence des «Jeunes Dirigeants du Bâtiment», communauté d’entrepreneurs issus de la nouvelle génération dont le rôle est d’accompagner dans son parcours tout dirigeant conscient de ses responsabilités et souhaitant s’engager dans l’Organisation Professionnelle.
Johan Bencivenga, Président de la Fédération du BTP 13 (PhotoD.R.)
Johan Bencivenga, Président de la Fédération du BTP 13 (PhotoD.R.)

« Je suis ravi et fier d’avoir été nommé à la tête de cette belle communauté dont je suis issu et que j’ai présidé dans le 13. Les Jeunes Dirigeants et militants représentent l’avenir des organisations patronales, c’est un vivier à entretenir tout particulièrement car la conjoncture est rude et les combats à venir s’annoncent toujours plus nombreux», a déclaré Johan Bencivenga.
Lors du Congrès, Jacques Chanut a rappelé sa détermination à maintenir la place du Bâtiment dans l’économie nationale, en agissant sur quatre leviers :
– La défense du marché, grâce notamment à la transition énergétique et à la défense de la primo-accession,
– L’allègement des contraintes, comme la fiche pénibilité, les normes et la complexité administrative,
– Le rétablissement de la concurrence loyale, avec les mêmes règles et les mêmes contrôles pour tous,
– La promotion des métiers afin d’accompagner l’apprentissage, l’alternance et l’insertion des jeunes ainsi que la transmission d’entreprise.

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