Jean-Luc Chauvin, président de la CCIAMP revient sur les raisons d’une candidature à sa succession

Publié le 26 mars 2021 à  14h23 - Dernière mise à  jour le 31 octobre 2022 à  15h44

C’est en Assemblée générale, ce vendredi 26 mars, que Jean-Luc Chauvin, président de la CCI Aix-Marseille Provence a annoncé qu’il serait candidat à sa succession lors des prochaines élections de la chambre consulaire qui se tiendront du 27 octobre au 9 novembre 2021.

Jean-Luc Chauvin est candidat à sa succession à la tête de la CCIAMP ©Destimed/RP
Jean-Luc Chauvin est candidat à sa succession à la tête de la CCIAMP ©Destimed/RP

Il y avait d’autres priorités

«Il y a plusieurs mois que certains me poussaient à être candidat pour un deuxième mandat mais il y avait d’autres priorités, bien plus importantes: le soutien aux entreprises et la préparation de la relance. Un combat qui, comme toute la mandature, a été mené dans l’union la plus large que ce soit lors des manifestations des gilets jaunes ou de la pandémie que nous connaissons. Une utilité démontrée également par l’analyse réalisée par le Cabinet Goodwill Management», explique Jean-Luc Chauvin. Étude qui révèle notamment qu’ 1 euro détenu par la CCIAMP génère 7,3 euros pour le territoire.

Cette candidature c’est celle de la « Team CCIAMP »

Dès la date des élections connues, poursuit-il: «Fort de ce bilan et des nombreux projets que nous avons encore à réaliser pour nos entreprises, pour ce territoire, j’ai donc décidé de présenter ma candidature et de l’annoncer en Assemblée générale car cette candidature c’est celle de la « Team CCIAMP ». C’est celle d’un appel à l’union. C’est la seule voie pour faire face aux défis qui sont les nôtres, pour poursuivre et amplifier le travail accompli, pour développer l’emploi».

Jean-Luc Chauvin lance un appel au rassemblement

Jean-Luc Chauvin lance un appel au rassemblement, à une liste unique regroupant toutes les composantes, interprofessionnelles et des branches professionnelles «dans le respect de toutes les sensibilités afin de construire un projet collectif». Il tient encore à préciser: «Les entreprises n’accepteraient d’être négligées; que des ambitions personnelles conduisent à des divisions. Nous demandons aux politiques de jouer collectif: nos entreprises ne comprendraient pas que nous ne fassions pas de même». Il rappelle enfin: «Je suis ancien président de l’UPE13, président sortant de la CCIAMP, et président national des Chambres métropolitaines, ce qui donne des atouts pour discuter avec les instances nationales»
Michel CAIRE

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