Ligue 1. OM 1 – Rennes 0: Cuisance le libérateur

Publié le 11 mars 2021 à  9h33 - Dernière mise à  jour le 31 octobre 2022 à  15h30

À deux minutes de la fin du temps réglementaire, le joueur prêté par le Bayern Munich a marqué le but de la victoire. Voilà trois points acquis dans la douleur mais trois points qui font du bien dans les têtes cabossées des Olympiens après l’humiliation subie dimanche en Coupe de France.

Arkadiusz Milik dispute le ballon de la tête avec un défenseur rennais (photo Wallis.fr/Laurent Saccomano)
Arkadiusz Milik dispute le ballon de la tête avec un défenseur rennais (photo Wallis.fr/Laurent Saccomano)
Un beau geste de Dimitri Payet qui va frapper le ballon en position d’ailier droit (photo Wallis.fr/Laurent Saccomano)
Un beau geste de Dimitri Payet qui va frapper le ballon en position d’ailier droit (photo Wallis.fr/Laurent Saccomano)

Jorge Sampaoli a réussi son premier match à la tête de l’OM. Arrivé lundi, il a remis dans le sens de la marche un groupe déboussolé par la spirale de la défaite. Son coaching a été gagnant. Entré en jeu à la place de Khaoui, Luis Henrique centrait pour Cuisance qui avait remplacé Payet. Dispose dans un 3-5-2 modulable, l’OM a changé de schéma de jeu au fil de la rencontre. Le VAR modifiait la décision de l’arbitre qui avait accordé un penalty aux Marseillais à la quatrième minute de jeu.

La première mi-temps était poussive et manquait de créativité dans le jeu. Milik reprenait le ballon de volée repoussé par Gomis (34e). Le match s’emballait en deuxième mi-temps. Thauvin manquait de peu le cadre (55e) avant que, signe du destin, un tir de Terrier se fracasse sur la transversale de Mandanda battu. «Avoir vu cette joie dans le vestiaire est un soulagement après dimanche. Je retiens l’énergie pour aller chercher la victoire. Cela crée de l’enthousiasme dans le groupe», déclarait Jorge Sampaoli en conférence de presse. Il faudra confirmer cette petite éclaircie dans la grisaille olympienne samedi prochain contre Brest à l’Orange Vélodrome. Coup d’envoi à 17 heures.
Gilbert DULAC

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