Marseille : Premier Festival Street Art les 11, 12 et 13 juillet sur le cours Julien / Notre Dame-du-Mont (6e)

Publié le 8 juillet 2014 à  23h12 - Dernière mise à  jour le 27 octobre 2022 à  17h55

Ce week-end artistique est organisé avec l’association « les commerces de la Butte » qui célébrera sa « Guinguette moderne » ce samedi 12 Juillet
Le cours Ju’ est considéré comme le quartier des artistes, rebelles, musiciens de Marseille. On y trouve de nombreuses terrasses de cafés, des boutiques à tendance artistique, alternatives, des aires de jeu pour les enfants, lieux de spectacle et de culture. C’est également le quartier où de nombreux artistes locaux, nationaux et internationaux ont choisi de «poser» leurs œuvres sur les murs du quartier.
Chaque mois, avec le MUR (Modulable Urbain Réactif), l’association Juxtapoz, née en 2009, propose à un artiste urbain d’investir un cadre et d’y proposer une œuvre éphémère. En 2013, à l’occasion de Marseille Capitale européenne de la culture 2013, Julie de Muer de Radio Grenouille présentait ses promenades sonores. Une expérience inédite qui proposait alors de (re)découvrir la cité phocéenne. Accompagnée du musicien Christophe Perruchi elle a réalisé un web-documentaire sur Google Maps afin de faire découvrir au public le quartier du Cours Julien et ses œuvres. Ce patrimoine artistique urbain fait l’objet de visites proposées par l’Office de Tourisme et des Congrès de Marseille.

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Marseille Shopping a donc tout naturellement souhaité amplifier cette identité propre à ce quartier du centre-ville en invitant une dizaine d’artistes, femmes et hommes à créer pendant plusieurs jours des œuvres devant le public. Elles embelliront le quartier et offriront une galerie d’art gratuite à ciel ouvert. Plusieurs disciplines sont représentées : peinture à la bombe, pochoirs, collage, fil, projections de photos… avec les artistes Acet – Alter Echoes – Alnfredo – Baze – Dire 132 – Gamo – Heng – Lili B – Marta Ka – Ouch – Julien Raynaud – Remy Uno – Russ – Virginie Biondi – Zabour pour le mur Juxtapoz.

Vendredi 11 juillet

Galerie Complex au 3, rue Pastoret de18h30 à 22h00
Vernissage « Fil en Boîte » Adela Coman- Trambouze / Ouch
«Cette installation voudrait être une ode à l’univers. J’ai tenté de rendre hommage à sa splendeur et son intelligibilité, d’exprimer à la fois sa créativité, son inventivité, sa beauté et sa richesse. J’ai voulu donner à contempler et à comprendre depuis l’infiniment petit jusqu’à l’immensité. A la fois duveteuse et empirique, mon installation prendra possession de vous comme une rêverie de début d’après-midi».
Galerie Complex

Chez Oogie au 55, cours Julien de 18h30 à minuit exposition : Acet et DJ Faze Beatmaker
Oogie

Waaw au 17, rue Pastoret de 18h30 à 23h00 exposition : « Bring Your shoes party, Sneakers »
Bring Your shoes, c’est quoi ? Pour la seconde fois à Marseille, l’événement Incontournable des amoureux de la basket ! «Amoureux de la basket ? Tu veux nous montrer ta plus belle paire? Tu veux échanger avec d’autres sneakers’addict ? Rencontrer des gens dans une ambiance musicale et arty ? Alors l’événement «Bring your shoes est pour toi! » Alors rendez-vous au Waaw les vendredi 11 et samedi 12 juillet.

Le cours en Vert au 102, cours Julien à partir de 18h30 exposition Marta Ka et soirée latine

Galerie charivari au 102, cours Julien à partir de 18h30 exposition/vernissage Heng & Remy Uno.
Deux univers différents, deux styles différents, mais un penchant pour les couleurs sauvages. Heng et Remy Uno partagent le même atelier et ils exposent à la galerie Charivari leurs travaux fraîchement produits. Des portraits déstructurés de Remy Uno aux chimères urbaines de Heng, le détour est obligatoire.
Charivari

L’Autoportrait au 66, rue des 3 Frères Barthélemy de 19 heures à 22 heures exposition « Nervures » de Marie-Lucie Poulain
Pour l’exposition « Nervures », l’artiste joue du découpeur plasma et crée sur la matière brute de l’objet-temps usé par la main de l’homme. Peinture, métal et reflet, elle laisse ses mains et son regard de femme glisser sur les lumières, les couleurs et les aspérités de son environnement onirique : «Le faire, le fer. La couleur, la matière, la transparence, la découpe dans la lumière, les ombres sur nos vies. Les pentes abruptes, les roulades colorées. Les autres, le sang dans leurs veines. Nos forces et nos faiblesses. Toute cette vivance ronde et déchiquetée par nos vies… C’est avec cette balade qui chantonne dans ma tête que je bouge mes yeux, mes mains, exprime ma tension et ses repos. Mes créations actuelles faites de fer, de rouille, de brillance et de miroirs seront exposées à l’Autoportrait dans cette ambiance sereine, qu’ont su créer Eve et Baltha, au cœur d’un Marseille vivace.»

Galerie Straat au 17, rue des Bergers de 19 heures à 22 heures vernissage de l’exposition « Potatoes ». Exposition collective de Cap (Crew against People) avec Vít Svoboda & Alexey Klyuykov. du 11 juillet au 9 août 2014
L’exposition Potatoes à la Straat Galerie réunit une sélection d’un ensemble infini de dessins de Vít Svoboda et Alexey Klyuykov, membres du Cap (Crew against people), collectif de graffeurs basé en république tchèque dont les dessins font référence à la tradition du graffiti, de la calligraphie asiatique, à l’art brut, aux dessins d’enfants et aux dessins automatiques, aux BD, à l’architecture, à l’Histoire de l’art, à la politique, aux blagues stupides, aux légumes, etc.
Vít Svoboda (*1984) est architecte et membre du projet post graffiti Cap. De plus, il se consacre à la pratique du dessin et du graffiti. Ses dessins sont basés en particulier sur le graffiti du début des années 70 et des années 80. Il perçoit le papier comme un domaine d’activité illimité dans lequel les symboles, motifs, gestes et fragments individuels s’entremêlent et se croisent pour devenir une forme aléatoire et créer un sens nouveau. Sa méthode de création est intuitive, d’une certaine manière liée au mouvement Brownien en physique ou au phénomène de la marche aléatoire en mathématique.
Alexey Klyuykov (*1983) est membre permanent proche de Svoboda et des activités du Cap, cependant dans l’environnement des galeries, il travaille généralement en binôme avec Vasil Artamonov. En effet, collaborer avec d’autres artistes est l’un des points le plus important dans le développement de sa pratique artistique. Alexey s’intéresse à l’utopie artistique et politique de la première partie du 20e siècle. Il puise souvent son inspiration dans le Constructivisme russe, le futurisme, le réalisme socialiste et l’art conceptuel de la scène underground de l’URSS d’après-guerre. En solo, il travaille aussi en tant qu’illustrateur.
Galerie Straat

Terrasse en Ville au 26, rue des 3 Frères Barthélemy de 19 heures à 22h30, exposition photo Antoine Rivière et une expo/vente : Sneaker-vintage. Vernissage de Aka Pacific Princess et DJ Pépé.
Antoine rivière, 32 ans, vit et travaille à Marseille. Sa pratique du skateboard depuis 1995 lui a permis d’appréhender la ville par un prisme inhérent à sa pratique dans la recherche d’espaces, revêtements propices, où matières et formes du tissu urbain se combinent en un terrain d’exploration idéal. Ses dérives à roulettes l’amènent très tôt à aspirer à garder une trace des lieux qu’il éprouve et ainsi d’en constituer un archivage documentaire. La série de photographies ici présentée a été réalisée en 2011 en république populaire de Chine, sensible aux couleurs vives, il donne priorité aux teintes riches qui se trouvent sur son chemin et entame des séries réalisées sur support argentique. Il photographie ces scènes instinctivement, sans sophistication technique, préférant se focaliser sur les contrastes et les couleurs avec un cadrage sur le vif, proposant une alternative à une vision consumériste où la rue n’est que vitrine et/ou fonction, dépourvue de toute valeur transcendante. En exclusivité, et après avoir bravé les États unis, le Japon et l’Amérique latine, Antoine rivière présente chez Terrasse en ville un ensemble de photographies prises lors de son dernier périple. Fruits d’un voyage en République populaire de Chine, celles-ci composent une suite de scènes déliées où les personnages, toujours, sont les protagonistes d’une prometteuse fiction. Lorsque personne n’est là, des fragments de paysages se révèlent en des couleurs saturées, heurtant les cadres solarisés qui bordent chaque image. Se débat ici une pensée de la faille, criblant le réel à travers des séries d’ambiances et d’objets criant leur unité ; fissures, rayures, retouches de peintures maladroites et déchirures font vrombir les coins des tirages, où rien n’est décati, où tout a vécu. Laissez-vous tenter par un cheminement fusant dans les méandres du pays où une industrie massive a déposé ses griffures.
Terrasse en Ville

Dos Mares au 5, rue Vian de 21 heures à minuit, nuit de projection : photographes de l’Amérique centrale «Mutation»
Les marques sont bien présentes, tout d’abord imperceptibles puis plus profondes, parfois même brusques. Elles sont là dans les détails, les attitudes, les transformations multiples. Un renouvellement politique, économique et social. De nouvelles formes apparaissent, des comportements inattendus, des plateformes de (dé)croissance, de transformations provoquées par des facteurs externes, étrangers ou issus de l’intérieur. Un changement est en cours, un changement de peau, il se déploie à travers l’architectures des corps, à travers les identités, au-delà des frontières de l’art, repensant le contexte pour inventer de nouveaux langages.
Les artistes : Alejandro de la Guerra – Andrea Mármol Alejandro – Medina Byron Mármol – Colectivo Nómada – Darling López Gabriela Téllez – Grettel Monge Jaime – David Tischler – Jose Castrellón – Leonardo González – Lucy Argueta Rodrigo Dada – Walterio Iraheta. Commissariat : Ronald Reyes
Dos Mares

Samedi 12 juillet

Marta Ka & Gamo « Shooting Angel », rue Crudère de 14 heures à 18 heures. Collage des photos réalisées samedi au 31, rue des Trois Rois et dimanche : 10h00 à 12h30
Gueules d’anges/ Shooting Angels
La séance de photo Graff dont vous êtes le héros. Entre la victoire de Samothrace, le mythe d’Icare, les messagers mystiques ou autres Créatures Célestes, c’est son amour du Graffiti et de la photo, et l’influence du mouvement Hip Hop, qui auront inspiré à l’artiste Marta Ka ce projet hybride. « Gueules d’anges / Shooting Angel » est une action itinérante d’art de rue, rassemblant un studio photo numérique à impression simultanée générant une galerie nomade de portraits. Le public pose librement devant un décor graffiti, repart gratuitement avec sa photo et assiste à la mise en place d’une exposition s’inscrivant dans le paysage local. Ce projet stimule l’imaginaire collectif en proposant un regard poétique et sensible sur l’environnement urbain et valorise l’individu dans son implication sur son territoire.

Zabou au mur de Juxtapoz, rue Crudère à 14 heures à 18h30
« Zabou est une jeune artiste française travaillant autour de l’art urbain et de l’illustration. Après des études en arts plastiques, elle déménagea fin 2011 dans la capitale anglaise pour poursuivre un Master à l’université des arts de Londres. Alors inspirée par l’effervescence culturelle et artistique dont la ville regorge, elle commença à peindre sur les murs. Zabou travaille avec la technique du pochoir, généralement en grand format. Dessinés et découpés à la main, ses pochoirs sont composés de personnages et animaux en noir et blanc. les coulures et les giclées de peinture tiennent une place importante dans son travail, ainsi que les motifs colorés. Les sujets de ses œuvres varient de la satire politique et sociale à la transformation de vieilles publicités en images effrontées. Depuis ses débuts en 2012, elle a déjà fait partie de plusieurs expositions et festivals d’art urbain en Europe. Elle travaille également en tant que graphiste et web designer pour différentes entreprises londoniennes.»

Dire132, Virginie Biondi & lili B à retrouver à la Façade Casablanca au 63, cours Julien de 14 heures à 18 heures
Dire 132, artiste né sous la grisaille banlieusarde de Créteil, grandit sous le soleil d’Aix-en-Provence. Passionné très jeune par le dessin, il débute dans le milieu du graffiti en 1989 et forme son premier Crew PG, avec Mask. Il développe son style en croisant la route des ISK et des TC, pour finir par rejoindre le légendaire Crew 132 (Marseille-Paris). Sollicité par de nombreux festivals, il intervient sur des événements tels que Solidays à Paris, Graffiti art à Bruxelles, aux côtés d’artistes comme Jace, Alexone, Profecy, Frez… parallèlement il poursuit un cursus en arts appliqués puis glisse vers l’objet et le design tout en continuant à peindre ses graffitis, lui permettant ainsi de développer un style alliant le graphisme et le figuratif. Il garde un pied dans le monde du graffiti pur et dure mais depuis quelques années, il se rapproche du Street art par diverses séries de collages. Il réalise quelques expositions personnelles ou collectives (Montana Gallery, Marbour Event, Impressions visuelles et sonores) et vient de participer au projet FMR de Montpellier…
Virginie Biondi est membre du collectif de Bd-Déviante Morvel fondé aux Beaux-Arts d’Angoulême. Elle s’intéresse autant aux supports en deux dimensions comme les toiles ou la bande dessinée, qu’aux volumes tels que les mannequins de vitrines et plus récemment les moulages en plâtre très inspirée par le corps elle travaille sur la foule mêlant accumulation, diversité et ressenti … Ces moulages sont réalisés en collaboration avec Cosima Kaye et sont des « instants » donnés par de charmants anonymes. Baignant dans le Hip-Hop et la musique électronique, l’approche de V.Biondi est colorée, ludique et expérimentale. maitrisant l’art de la Coulure, elle vous emmène (du moins nous l’espérons) dans l’univers tout en contraste chatoyant et sombre, doux et torturé.
Lili B « Le style Lili B, c’est une bonne dose de motifs, floraux et subtils, du noir et blanc, beaucoup. Ajoutez à cela des découpes, des ombres, du volume. Ses créations, qu’elles soient en 2D ou en 3D prennent du relief, d’autant plus lorsqu’elles sont mises en scène, ou collées dans la rue, sous forme de dentelles de papier. L’artiste, sait mettre sa patience au service de la créativité. Bienvenue dans l’univers poétique de Lili B… »

Heng & Remy Uno fresque en collage au 33, rue des Trois Rois
Heng et Remy Uno partagent le même atelier et travaillent sur des projets communs depuis plusieurs années. Deux univers différents, deux styles différents, mais un penchant pour les couleurs tranchées. Des portraits déstructurés pour Remy Uno aux chimères urbaines de Heng, leurs collaborations se portent autant sur murs que sur toiles.

Acet & Julien Raynaud fresque colorée sur les escaliers du cours Julien de 9 heures à 18 heures
Acet est un Graffeur marseillais depuis plus de 15 ans. Son art met en jeu différents personnages imaginaires aux proportions décalées où il travaille la lumière et les jeux de couleurs, dans certaines créations il utilise des formes abstraites géométriques et fluides qui signent la dynamique de ses compositions. En recherche constante de nouveautés dans divers domaines : fresque, peintures bodypainting, lightgraff, support mobilier, vidéo… Il se spécialise dans le live painting et apporte une touche personnalisée et artistique lors de remise de prix, évènements culturels ou pour des marques internationales. Pour le festival street art du cours Julien, il s’occupera des escaliers du cours Julien avec Julien Raynaud, pour former une vague de couleurs qui déferle sur la ville.
Julien Raynaud est un jeune artiste peintre autodidacte de 26 ans. Il revisite le Cubisme en apportant une touche graffiti. C’est à l’âge de 16 ans que Julien achète ses premières bombes de peinture et fait ses premiers graffitis dans les terrains vagues et lieux désaffectés de Marseille. Après une période de remise en question et un séjour à los Angeles ponctué de rencontres, Julien trouve sa voie, son propre style et son univers. L’artiste se dévoile alors au travers d’œuvres inspirées par son vécu, remplies de sincérité, d’amour et d’espoir. Ses œuvres sont une quête d’une réalité meilleure, une volonté de rendre la vie plus belle, moins cruelle et de garder son regard d’enfant sur le monde. Avec ses personnage cubistes, inspirés de scènes réelles et toutes ses couleurs, Julien nous envoute, revient à l’essentiel et adresse à tous un message venu du cœur… celui d’aimer et de toujours rêver quel que soit la situation. «Plus un sujet va être difficile plus je vais mettre des couleurs vives pour montrer qu’on peut tout surmonter.» Dans l’univers artistique de Julien Raynaud, quel que soit l’histoire, son issue est toujours belle et remplie d’espoir.

Russ fresque, rue Armand Bédarrides – côté cours Julien de 7 heures à 20heures
Russ est un artiste qui aime adapter son travail à divers supports tout en explorant différentes techniques. long- temps influencé par ses origines soviétiques, son travail d’illustration se développe désormais selon des sujets variés tout en conservant une atmosphère onirique. Il s’illustre notamment en extérieur par la réalisation de fresques murales. Dans un contexte plus intimiste, son travail est parfois visible en galerie, au travers d’expositions collectives ou personnelles.

Ouch Chercher les diamants
Adela Coman fait Ouch! Comment transformer un mur blanc lambda en œuvre d’art ? Un marteau, des clous, du fil, vos murs deviennent support de toutes les fantaisies. Le procédé est brut, le rendu délicat et sensible. « Le projet « un diamant sur la ville » est une installation in situ dans le quartier du cours Julien/notre Dame-du-Mont. En reprenant le concept de décoration intérieur à base de fil et de clou que j’ai déjà développé, je propose une œuvre murale sous la forme et la silhouette d’un diamant et de l’installer dans l’espace publique ou sur un mur privé. Le diamant est un symbole de luxe, d’inaccessible, de futilité et pourquoi ne pas passer la bague au doigt au quartier du cours Julien. Accolé un diamant sur un mur c’est aussi un joli clin d’œil à la préciosité de nos rues.»

Baze façade du Waaw au 17, rue Pastoret de 8h30 à 14 heures
Baze, membre fondateur de la Galerie Seize et artiste aux multiples compétences dont le talent éclate sur les murs de la ville, va s’exprimer une nouvelle fois sur la façade du Waaw. De plus en plus attiré par le monde du tatouage et son univers, sa série « Ink the surface» rend hommage aux tattoos façon XXL. Du Street Art noir et blanc à la sauce rock n’ roll. Dans le cadre du « Week-end Street Art » proposé par la Fédération Marseille Centre et en partenariat avec l’association les Commerces de la Butte, WaaW se refait une beauté en parallèle de l’événement « Bring Your shoes » organisé dans le bistrot.
Vendredi 11 & samedi 12 Juillet, venez contempler la réalisation du tatouage géant que l’artiste va apposer sur ses murs, dans le plus pur style américain des Ed Hardy et autre Thom Devita !

Alter Echoes
Deux projections visuelles par le Collectif projection n°1 : 30, rue des trois rois de 21h à minuit. Projection n°2 : 80, cours Julien de 21h à minuit
« Alter Echoes est un collectif audiovisuel marseillais dont les vidéos proposées ont une accroche artistique commune. Passionnés de musique mais aussi de cinéma, il était indispensable que cela transparaisse dans nos vidéos. Le déroulement : production – réalisation – post-production Collectif de créateur visuel et sonore nous proposons une esthétique expérimentale qui habille les artistes, les festivals, sur différents supports notamment grâce à la projection et au mapping.
Alter Echoes c’est aussi un collectif qui propose tous les mois des cinematics podcasts pour radio Grenouille. C’est aussi une boite de production qui réalise des clips vidéos pour des artistes musicaux, ou des teasers pour des organismes.
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Guinguette Block Party by DJ Djel- Edition n°6 de 18 heures à minuit
Après une édition 2013 sous le signe du Disco, les commerces de la Butte lorgnent à nouveau du côté des USA. la guinguette devient « Block party », le « Street Art » s’éclate et c’est DJ Djel (fonky family) qui prend la casquette de chef d’orchestre pour cette 6e édition. Sur la scène de la Guinguette : performances danse par «Les misérables», Human Beatbox, musique par Djel, K-méléon (la method), Muge Knight et Tressym. Grâce à Djel et sa programmation, la soirée s’annonce groove et festive. La Guinguette Bloc Party, c’est Marseille qui invite new York au Cours Julien ! Dans le cadre de cette soirée, les restaurateurs vous proposent une assiette Guinguette !

Dimanche 13 juillet

Visite
Le public découvrira l’intégralité des fresques réalisées pendant ces 3 jours. Le départ est prévu devant la sortie du métro Notre Dame-du-Mont / cours Julien de 10 heures et 17 heures
Gratuit sur Inscription : 09 64 49 12 29
Artvisitprovence propose des visites guidées ludiques et conviviales autour de la création contemporaine (arts visuels, archi, design et Street Art) dans différents quartiers de Marseille dont le cours Julien. Quartier des créateurs, quartier à « atmosphère », pas très loin de l’ancienne école d’art de Marseille (le palais Carli), le cours Julien est l´endroit parfait pour découvrir le Street Art dont les interventions recouvrent les nombreuses petites rues qui rayonnent autour de sa fontaine…

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