Municipales à Marseille : vice-présidente du département des Bouches-du-Rhône, Sandra Dalbin rejoint Bruno Gilles

Publié le 26 janvier 2020 à  20h28 - Dernière mise à  jour le 29 octobre 2022 à  13h45

Sandra Dalbin, vice-présidente du département des Bouches-du-Rhône en charge du handicap rejoint Bruno Gilles (Photo archive Robert Poulain)
Sandra Dalbin, vice-présidente du département des Bouches-du-Rhône en charge du handicap rejoint Bruno Gilles (Photo archive Robert Poulain)
Sandra Dalbin, vice-présidente du Conseil départemental des Bouches-du-Rhône et présidente de la MDPH (Maison départementale des personnes handicapées) rejoint Bruno Gilles, candidat (sans étiquette) à la mairie de Marseille. Elle formera avec Ludovic Perney (LR) le ticket de tête dans les 6e et 8e arrondissements de Marseille. Dans le fief historique du futur ex-maire de Marseille Jean-Claude Gaudin. Là aussi où Martine Vassal, présidente du Conseil départemental des Bouches-du-Rhône et de la Métropole Aix-Marseille-Provence, elle aussi candidate (LR) à la mairie de Marseille, se présente en tant que tête de liste. Sandra Dalbin connaît bien ce secteur pour y avoir grandi et étudié. «Elle saura répondre avec compétence et détermination aux problématiques que soulèvent les citoyens que je rencontre durant mes nombreuses visites», a expliqué Bruno Gilles. Sandra Dalbin est en charge des problématiques du handicap au Département. «Un sujet qu’il convient d’aborder avec ambition et écoute », a ajouté le candidat à la mairie de Marseille. Et d’ajouter : «Elle apporte dans ma campagne participative son expertise d’élue de terrain au plus près des associations, des familles, des Marseillaises et des Marseillais en situation de handicap.» La vice-présidente du département, âgée de 35 ans, témoigne de son choix : «J’appartiens à cette droite sociale dont se revendique Bruno Gilles. Il a su entendre l’importance des problématiques que je traite dans ma délégation. Le handicap nous concerne tous. Je sais qu’avec Bruno Gilles, ces questions prendront tout leur sens.»
Anna CHAIRMANN

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