Vidéoprotection: une nouvelle convention de partenariat signée entre la police municipale et la police nationale

Publié le 4 juillet 2015 à  21h28 - Dernière mise à  jour le 29 octobre 2022 à  13h44

Centre de Supervision Urbain (CSU) de la ville de Marseille (Photo Philippe Maillé)
Centre de Supervision Urbain (CSU) de la ville de Marseille (Photo Philippe Maillé)

Une nouvelle convention «pour plus d’efficacité» vient d’être signée, pour une durée de 5 ans, par le Préfet de Police, Laurent Nunez, et Caroline Pozmentier, adjointe au maire de Marseille en charge de la sécurité au Centre de supervision urbain (CSU) de Marseille. Cette convention, complémentaire à celle qui a été signée en février 2012, fixe les conditions d’usage et de partenariat pour l’utilisation de la vidéo-protection. En effet, en 2012 lors son ouverture le CUS n’avait en exploitation que 40 caméras aujourd’hui, ce sont 635 caméras qui sont réparties dans la ville pour un objectif «de 1 000 caméras à la fin 2016», précise Caroline Pozmentier. Cette convention signée entre l’État et la Ville et les services de la Direction départementale de la sécurité publique des Bouches-du-Rhône; les services de la Direction interrégionale de la police judiciaire, les services des douanes et de gendarmerie va permettre d’exploiter les outils du CSU pour déceler les événements, délits ou crimes troublant l’ordre public; capitaliser l’information nécessaire aux équipes de terrain et faciliter leurs interventions; optimiser les recherches de preuves aidant à la résolution d’enquêtes. Il est à noter qu’en 2014, le CUS a traité: 1 084 réquisitions judiciaires d’images des services de police et au premier semestre 2015, ont déjà été enregistrées 928 réquisitions judiciaires d’images pour enquêtes de police.
P.M.-C.

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