Publié le 10 avril 2025 à 8h00 - Dernière mise à jour le 12 avril 2025 à 9h24
Si le Programme d’Avenir est crucial pour contextualiser l’intervention des organismes publics, deux thèmes me viennent à l’esprit avant d’entrer de plain-pied dans son développement. Le premier thème est la soi-disant génération Z qui suscite tant d’attention.

Cette génération se trouve à un carrefour particulier et, comme l’analysent de nombreux sociologues, présente une série de caractères dont je ne sais pas s’ils sont préoccupants ou pas tant que ça. On parle de son quasi-rejet de la société dans laquelle elle vit et des paramètres que nous avons construits en matière de relations de travail et humaines. S’il s’agit d’une période d’adaptation de la jeunesse à l’intégration sociale ou de quelque chose de plus structurel… là sera la différence.
Un autre thème est l’augmentation sans limite des attentes des citoyens quant à l’action des entités publiques. Une chose est d’établir une série de demandes “logiques”, mais de là à ne pas arrêter de noter chaque jour une nouvelle demande supplémentaire, il y a un pas. Mais comme nous disons entre amis… définis-moi ce qu’est une “demande logique”.
Une intervention absolue de l’Administration Publique dans la vie des citoyens, au-delà de la “logique”, créerait un environnement social irrespirable dans lequel la volonté de chaque gouvernement délimiterait notre espace de liberté : un risque brutal pour notre liberté et pour la démocratie. Mais ceci est l’affaire de chacun de nous.
Moi, je le dis, je serai toujours dans les tranchées de la liberté individuelle et de la démocratie et donc, pour mettre une fois de plus de plus en plus de limites à l’intervention publique.
Le Programme d’Avenir est une lettre au citoyen d’aujourd’hui pour son demain…
Ce qu’il faut proposer à une citoyenneté comme Programme d’Avenir dépend de beaucoup de choses, mais surtout du point de départ. Je sais ce qui se passe dans la région où je passe une bonne partie de ma vie, qui est Madrid.
Je dois dire que Madrid, comme toutes les régions auxquelles nous nous adressons, est déjà “faite”. Ce n’est pas une Région nouvelle en cours de formation. Par conséquent, l’action publique qui est proposée a déjà une matière première formée sur laquelle il faut agir… avec ses avantages et ses limites.
Une région est déjà écrite. Il n’est pas nécessaire d’écrire la moitié du livre.
Pour clarifier de quoi je parle : la région dispose déjà d’un réseau ferroviaire régional, d’un aéroport grandiose et d’un réseau d’autoroutes qui sont là. Ce qui sera fait à l’avenir avec cela est une chose, mais au moins la Proposition d’Avenir qui sera élaborée n’a pas besoin de porter sur l’établissement de ces infrastructures.
Je vais vous parler de Madrid, mais en pensant à “vous” qui êtes “nous”. Maintenant, je commence une série d’articles relatifs au Programme d’Avenir proposé par le parti vainqueur des dernières élections. Je ne suis pas nécessairement pour ni contre, car mon sujet porte davantage sur la théorie politique que sur l’offre électorale.
De cette Communauté Autonome, l’une des grandes banques nationales dit, entre autres choses :
1. Leadership en PIB : La Communauté de Madrid est en tête du classement du PIB au niveau national, représentant 19,6 % du total de l’Espagne en 2023, soit une augmentation de 2 points de pourcentage depuis l’an 2000.
2. Dynamisme démographique : La région a connu une forte croissance démographique grâce à l’immigration, tant nationale qu’internationale, étant la troisième région la plus peuplée avec 7,1 millions d’habitants en 2024.
3. PIB par habitant élevé : Madrid présente le PIB par habitant le plus élevé d’Espagne, atteignant 42 198 euros en 2023, soit 4. 36,3 % supérieur à la moyenne nationale.
4. Spécialisation dans les services : La structure productive de Madrid se caractérise par un poids significatif des services professionnels et liés à l’industrie (43,7 %), contrairement à une faible représentation de l’agriculture et de la manufacture.
5. Faible intensité exportatrice : Bien qu’étant la deuxième région en volume d’exportations, le poids des exportations de biens sur le PIB est relativement faible (17,6 %) par rapport à la moyenne espagnole (25,6 %).
6. Principales exportations : Les secteurs exportateurs clés sont les produits chimiques (principalement pharmaceutiques), les produits énergétiques et le matériel de transport.
7. Croissance économique en 2024 : L’économie madrilène a montré un dynamisme supérieur à la moyenne espagnole en 2024, avec une croissance estimée du PIB de 3,4 %, tirée par les services marchands, l’emploi et le tourisme étranger.
8. Prévision de croissance pour 2025 : Le PIB de Madrid devrait croître de 2,7 % en 2025, bénéficiant de la modération des prix et des taux d’intérêt, de la solidité financière des ménages et de l’impulsion des fonds européens.
9. Marché du travail robuste : La région a connu une forte croissance de l’emploi, avec une augmentation des affiliés à la Sécurité Sociale de 3,5 % en 2024 et un taux de chômage de 8,6 % au quatrième trimestre 2024, inférieur à la moyenne nationale.
10. Faiblesse des exportations de marchandises en 2024 : Les exportations de marchandises ont diminué de 5,4 % en 2024, principalement en raison de la baisse des ventes de produits pharmaceutiques et énergétiques.
Que cela serve de base pour contextualiser ce qui suit.
D’emblée, soulignons : le point de départ est celui qui est esquissé ci-dessus par le rapport économique que j’ai présenté. Le Programme d’Avenir entend démarrer de là comme point de départ et aller un peu plus loin dans son développement ; oui, être un peu ambitieux pour que la Région ne se repose pas sur ses lauriers… Toujours en pensant au bien de tous… (logiquement).
Eh bien, à Madrid, on pense au numérique… qui est le moteur de tout le reste… sommes-nous d’accord ?
La première note à souligner concernera l’économie numérique. Aujourd’hui, c’est le point de mire de tous les économistes, car c’est soit une puissante force économique, soit un soutien et un support de tous, absolument tous les secteurs économiques, aussi illusoire que cela puisse nous paraître.
Ainsi, la première proposition est liée à – depuis le gouvernement régional, impulser la transformation numérique de tous les secteurs économiques et une administration publique efficace. Ainsi, elle ne se concentre pas exclusivement sur les acteurs économiques privés, mais élargit sa sphère d’action à l’administration publique elle-même.
Il est logique qu’une masse critique importante de citoyens vivent en dehors du centre-ville de la capitale et faciliter leur accès aux services publics est crucial pour eux tous. Ainsi, en quelques clics, ils n’ont pas besoin de se déplacer au centre de la capitale pour remplir un simple formulaire. De même, la numérisation promet une
gestion plus efficace des services publics très demandés… comme les rendez-vous avec les médecins et les
fonctionnaires.
En accédant à une application simple, on garantit une gestion efficace tant du service public que de l’agenda des
citoyens. Ceci est évident, mais doit aller plus loin. Une fois le rendez-vous pris, tout ce qui vient après doit se trouver dans cette “boîte noire” qu’est le dossier administratif, et être accessible aux citoyens qui l’ont initié.
Ainsi, nous saurons ce qui se passe avec nos affaires de santé et d’autres types d’affaires jusqu’à leur achèvement.
Si vous créez une économie substantiellement numérique, c’est que votre économie fonctionne… et fonctionnera.
Vous et moi le savons.
L’économie est la base d’une société prospère et capable de fournir des services aux citoyens, en particulier aux plus nécessiteux. J’y reviendrai plus tard.
L’éducation est une autre clé.
La numérisation est fondamentale, mais sans une personne pour tout guider, il n’y a pas de numérisation. La numérisation représente une étape supplémentaire dans la spécialisation des sociétés. Nous ne valons pas tous pour tout. Je suis incapable de me placer derrière un ordinateur et de numériser un simple processus. Par conséquent, un système éducatif capable de générer des connaissances pour les mettre ensuite en pratique est nécessaire. Cela vaut autant pour créer des docteurs, des économistes, des ingénieurs, des architectes que des informaticiens.
C’est pourquoi le Programme d’Avenir mise sur une éducation de qualité avec liberté et approche culturelle : L’avenir éducatif se caractérisera par une plus grande liberté de choix pour les familles, des programmes basés sur des connaissances rigoureuses et une pertinence de la culture et de l’histoire.
Assumons tout le thème lié à l’éducation, comme des professeurs de haut niveau, des installations éducatives et un soutien aux étudiants pour que l’éducation soit pour eux un processus vertueux de leur vie : ce qui ne sera pas fait à ce moment de leur vie, pour eux et pour la société, sera difficile à réparer à une phase ultérieure de leur vie.
La jeunesse et le logement…
Je ne peux pas cacher que la jeunesse affronte un avenir différent de celui que j’ai eu. C’est pourquoi ce qui concerne son processus d’intégration sociale fait partie du Programme d’Avenir. Faciliter l’émancipation des jeunes, l’accès au premier logement et la formation pour un emploi de qualité font partie des préoccupations de l’avenir.
Dans ce domaine, le soutien aux familles et à la natalité joue un rôle important : Les politiques publiques seront orientées vers la protection des familles, avec une attention particulière aux familles monoparentales et nombreuses, et vers la promotion de la natalité.
Et les personnes âgées ne sont pas non plus ignorées…
Il est proposé de renforcer les ressources et les programmes destinés à garantir l’attention et les soins aux personnes âgées, en luttant contre la solitude non désirée.
Et pour conclure…
On veut que Madrid soit une Région attractive pour l’investissement et l’entrepreneuriat : Madrid offrira un environnement favorable à la création d’entreprises et à l’attraction d’investisseurs, basé sur une faible pression fiscale, la stabilité juridique et l’élimination de la bureaucratie.
A lire aussi du même auteur
- Europe. Inondations en Espagne. Entretien avec José Fernandez Alcalde : «Il y a toujours « quelque chose» qui échappe à ce qui est humainement contrôlable par les êtres humains»
- Tribune de José Fernandez Alcalde : «Je crois positivement au progrès social et économique»
- Tribune de José Fernandez Alcalde : Chaque région d’Europe a son secteur économique prépondérant
- Tribune José Fernandez Alcalde : Nos villes… regardent vers l’avenir
- Tribune José Fernandez Alcalde : «Tout ne peut pas être décidé au niveau local, mais… »
——————————————————————————–
[Tribuna] José Fernandez Alcalde: Hablemos de Madrid y de todos nosotros

Si el Programa de Futuro es crucial para contextualizar la intervención de los organismos públicos, dos temas me vienen a la mente antes de entrar de lleno en su desarrollo. El primer tema es la llamada generación Z que tanta atención suscita.
Esta generación se encuentra en una encrucijada particular y como se analiza por multitud de sociólogos, presenta una serie de caracteres que no sé si son preocupantes o no lo son tanto. Se habla de su casi rechazo a la sociedad en la que viven y a los parámetros que hemos construido de relaciones laborales y humanas. De ser un periodo de adaptación de la juventud a la integración social o ser algo más estructural … ahí estará la diferencia.
Otro tema es el aumento sin límite alguno de las expectativas de los ciudadanos en la actuación de los entes públicos. Una cosa es establecer una serie de demandas “lógicas”, pero de ahí a no parar de anotar cada día una nueva demanda adicional va un trecho. Pero como decimos entre los amidos … defíneme que es una “demanda lógica”.
Una intervención absoluta de la Administración Pública en la vida de los ciudadanos, más allá de la “lógica” crearía un ambiento social irrespirable en el que la voluntad de cada gobierno delimitaría nuestro espacio de libertad: un riesgo brutal para nuestra libertad y para la democracia. Pero esto es tema de cada uno de nosotros. Yo, lo digo, estaré siempre en las trincheras de la libertad individual y la democracia y por tanto, de poner ya de una vez mas y mas límites a la intervención pública.
El Programa de Futuro es una carta al ciudadano de hoy para su mañana…
El qué proponer a una ciudadanía como Programa de Futuro depende de muchas cosas, pero, sobre todo, del punto de partida.
Yo conozco lo que pasa en la región donde paso una buena parte de mi vida, que es Madrid. Tengo que decir que Madrid, como todas las regiones a las que nos dirijamos, esta ya “hecha”. No es una Región nueva en proceso de formación. Por ello, la actuación pública que se proponga tiene ya una materia prima formada sobre la que hay que actuar … con sus ventajas y sus limitaciones.
Una región está ya escrita. No hace falta escribir la mitad del libro.
Para clarificar de que hablo: la región dispone ya de una red ferroviaria regional, de un aeropuerto grandioso, y de una red de autovías que están ahí. Lo que se haga a futuro con ello es una cosa, pero al menos la Propuesta de Futuro que se elabore no necesita incidir en el establecimiento de estas infraestructuras.
Les voy a hablar de Madrid, pero pensando en “ustedes” que somos “nosotros”.
Ahora inicio una serie de artículos relativos al Programa de Futuro planteado por el partido ganador de las últimas elecciones. No estoy necesariamente a favor ni en contra de ella, porque mi tema va en la teoría política más que en la oferta electoral.
De esta Comunidad Autónoma, uno de los grandes bancos nacionales dice, entre otras cosas:
1. Liderazgo en PIB: La Comunidad de Madrid lidera el ranking de PIB a nivel nacional, representando el 19,6% del total de España en 2023, un aumento de 2 puntos porcentuales desde el año 2000.
2. Dinamismo demográfico: La región ha experimentado un fuerte crecimiento poblacional gracias a la inmigración, tanto nacional como internacional, siendo la tercera región más poblada con 7,1 millones de habitantes en 2024.
3. Alto PIB per cápita: Madrid presenta el PIB per cápita más elevado de España, alcanzando los 42.198 euros en 2023, un 36,3% superior a la media nacional.
4. Especialización en servicios: La estructura productiva de Madrid se caracteriza por un peso significativo de los servicios profesionales y ligados a la industria (43,7%), en contraste con una baja representación de la agricultura y la manufactura.
5. Baja intensidad exportadora: A pesar de ser la segunda región en volumen de exportaciones, el peso de las exportaciones de bienes sobre el PIB es relativamente bajo (17,6%) en comparación con la media española (25,6%).
6. Principales exportaciones: Los sectores exportadores clave son los productos químicos (farmacéuticos principalmente), los productos energéticos y el material de transporte.
7. Crecimiento económico en 2024: La economía madrileña mostró un dinamismo superior a la media española en 2024, con un crecimiento estimado del PIB del 3,4%, impulsado por los servicios de mercado, el empleo y el turismo extranjero.
8. Previsión de crecimiento para 2025: Se espera que el PIB de Madrid crezca un 2,7% en 2025, beneficiándose de la moderación de precios y tipos de interés, la solidez financiera de las familias y el impulso de los fondos europeos.
9. Mercado laboral robusto: La región ha experimentado un fuerte crecimiento del empleo, con un aumento de los afiliados a la Seguridad Social del 3,5% en 2024 y una tasa de paro del 8,6% en el cuarto trimestre de 2024, inferior a la media nacional.
10. Debilidad en las exportaciones de mercancías en 2024: Las exportaciones de mercancías se contrajeron un 5,4% en 2024, debido principalmente a la disminución de las ventas de productos farmacéuticos y energéticos.
Sirva ello de base para contextualizar lo que viene a continuación. De antemano señalar: el punto de partida es el que se dibuja arriba por el informe económico que he reflejado. El Programa de Fututo pretende arrancar de ahí como punto de partida e ir un poco mas lejos en su desarrollo; si, ser un poco ambicioso para que la Región no se duerma en los Laureles …. Siempre pensando en el bien de todos …(lógicamente).
Pues bien, en Madrid se piensa en lo digital … que es el motor de todo lo demás … ¿estamos de acuerdo?
La primera nota para destacar será en relación con la economía digital. Hoy es el punto de mira de todos los economistas en cuanto es por si una
poderosa fuerza económica, o como apoyo y soporte de todos, absolutamente todos los sectores económicos por muy ilusorio que esto
nos parezca. Así, la primera propuesta esta ligada a -desde el gobierno regional impulsar transformación digital de todos los sectores económicos y una administración pública eficiente. Así, pues, no se centra en los actores económicos privados exclusivamente, sino que amplía su esfera de actuación a la propia administración pública. Es lógico pues una importante masa critica de ciudadanos viven fuera del casco urbano de la capital y facilitar su acceso a los servicios públicos es crucial para todos ellos.
Así, a golpe de varios clics, no tienen que desplazarse al centro de la capital para rellenar un sencillo formulario. Igualmente, la digitalización promete una gestión mas eficaz de servicios públicos muy demandados … como las
citas con médicos y funcionarios. Al acceder a una aplicación sencilla, se garantiza una gestión eficaz tanto del servicio publico como de la agenda de
los ciudadanos. Esto es obvio, pero tiene que ir a más. Una vez celebrada la cita, todo lo que viene después tiene que estar en esa “caja negra” que es el expediente administrativo, y que sea accesible a los ciudadanos que lo
iniciaron. Así sabremos lo que sucede con nuestros asuntos de salud y de otro tipo de asuntos hasta su finalización.
Si creas una económica sustancialmente digital es que tu economía funciona … y funcionará.
Eso lo sabemos usted y yo. La economía es la base de una sociedad próspera y con capacidad de prestar servicios a los ciudadanos, especialmente a los más necesitados. Luego volveré sobre ello.
La educación es otra clave.
La digitalización es básica, pero sin una persona guiando todo ello, no hay digitalización. La digitalización supone un paso más en la especialización de las sociedades. No valemos todos para todo. Yo soy incapaz de situarme detrás de un ordenador y digitalizar un simple proceso. Por tanto se requiere un sistema educativo capaz de generar un conocimiento para ponerlo posteiormente en práctica. Vale tanto para crear doctores, economistas, ingenieros, arquitectos como informáticos.
Por ello, el Programa de Futuro apuesta por una educación de calidad con libertad y enfoque cultural: El futuro educativo se caracterizará por una mayor libertad de elección para las familias, currículos basados en conocimientos rigurosos y una relevancia de la cultura e historia.
Asumamos todo el tema ligado a la educación, como profesores con un alto
nivel, instalaciones educativas y apoyo a los estudiantes para que la educación sea para ellos un proceso virtuoso de su vida: lo que no se haga en este momento de su vida, por ellos y por la sociedad, va
a ser difícil de recomponer en una fase posterior de su vida.
La juventud y la vivienda …
No puedo ocultar que la juventud afronta un futuro diferente al que yo tuve. Por ello, lo relativo a su proceso de integración social es parte del Programa de Futuro. Facilitar la emancipación juvenil, el acceso a la primera vivienda y la formación para el empleo de calidad forman parte de las preocupaciones del futuro.
En este ámbito juega un papel relevante el apoyo a las familias y la natalidad: Las políticas públicas se orientarán a proteger a las familias, con especial atención a las monoparentales y numerosas, y a fomentar la natalidad.
Y a las personas mayores tampoco se les ignora …
Se propone fortalecer los recursos y programas destinados a garantizar la
atención y los cuidados a las personas mayores, combatiendo la soledad no
deseada.
Y como broche de cierre …
Se quiere que Madrid sea una Región atractiva para la inversión y el emprendimiento: Madrid ofrecerá un entorno favorable para la creación de
empresas y la atracción de inversores, basado en la baja presión fiscal, la
estabilidad jurídica y la eliminación de burocracia.