Publié le 22 septembre 2016 à 23h00 - Dernière mise à jour le 28 octobre 2022 à 15h36
Pas besoin d’être devin pour comprendre que nous avons, cette année, avec l’OM une équipe de « pieds paquets » et un entraîneur qui préfère faire jouer les boucans que les Rolando… Mais bon, peu importe.
Au fait, il en est pour expliquer sur leurs ondes que le stade contre Lyon était vide à cause des groupes de supporteurs (un en particulier “exploitant” le bas du virage nord et dont le nom à un consonance américaine).
Que nenni! La vérité est ailleurs dirait l’autre. Les contraintes économiques font que l’époque de l’argent « content » est fini. Alors, la place en virage à 40€ c’est beaucoup pour le spectacle proposé. Et je n’ose même pas connaître le prix des places un peu bien. Même le plus fervent, chauvin… n’aime pas être pris pour un débile quand on voit l’équipe de fifres que nous avons et le spectacle qu’elle offre… Non pardon, qu’il faut payer. De plus, en termes de politique du vide, il importe de savoir que l’OM bloque des abonnés. Je m’énerve pas j’explique: Les Yankee ont signé une convention avec le club en matière d’abonnement dans laquelle il n’est pas question d’adresse personnelle des membres des clubs de supporteurs. Il en était tellement peu question que 600 places ont été remises… jusqu’au jour où 356 cartes ont été bloquées, 356 personnes qui ont payé, pour rien, si ce n’est une invitation sous condition de donner leur adresse personnelle. Alors les Yankee ont payé à ses 356 personnes un billet à 40€. Faut-il songer que, à défaut de gagner des matchs, le club veut en gagner en se constituant un listing. Ce vendredi un jugement va être rendu pour l’action menée par les yankee contre …? J’hésite. Vraiment. Pas l’OM au sens noble du terme mais, contre un système qui a décidé de lever tous droits aux supporteurs en s’attaquant aux Yankee. Lesquels se battent pour leurs adhérents, les supporteurs de l’OM. Ce qui est vrai, c’est que j’aimerais pas être à la place du juge vendredi…
PS: Le prochain président de l’OM, Jacques-Henri Eyraud, PDG de Paris Turf, est un grand ami de Labrune et Laboze. Alors j’espère me tromper mais, je crains qu’après celui des chèvres, «il est venu le temps des bourrins».
Allez l’OM
Vive les Yankee