Ligue 1. PSG 3 – OM 1: Pas de miracle au Parc des Princes

Malgré la réduction du score par Amine Gouiri (2-1, 50e), les Olympiens ont concédé deux buts fatals évitables

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Amine Gouiri a donné de l’espoir aux supporters de l’OM en réduisant le score (Photo Laurent Saccomano/Wallis.fr)

Les saisons se suivent et se ressemblent et cela devient agaçant. Que ce soit à Marseille ou à Paris, l’OM est incapable de prendre au moins un point dans ses oppositions avec le club de la capitale.  Battus (3-0) à l’Orange Vélodrome le 27 octobre 2024 au match aller, le scénario s’est répété hier soir au match retour. Il serait trop facile de trouver des excuses parmi les absences de Hojbjerg, Murillo et Bennacer blessés, pour expliquer l’échec des joueurs de Roberto De Zerbi dans ce « Classico ». Mais les Marseillais ont montré leurs limites techniques et tactiques face à l’armada parisienne euphorique après sa qualification en Ligue des champions à Liverpool.

Deux buts qui font mal

Malgré l’ouverture du score par Ousmane Dembelé, l’OM faisait des efforts dans le jeu et proposait des belles combinaisons en attaque. Rongier inquiétait Donnarumma mais Mendes, trois minutes avant le repos, plombait les espoirs des Olympiens avec un deuxième but. Gouiri récupérait une passe de Rabiot pour réduire le score.

La conclusion du match était indécise, Dembelé tirait sur le poteau. Rulli intervenait sur une frappe de Zaïre-Emery, mais le gardien de but argentin se faisait crucifier par un but contre son camp de Pol Lirola qui avait remplacé Luiz Felipe dont c’était la première titularisation.  Malgré les entrées en jeu de Greenwood, Bakola et Maupay, le PSG dictait le tempo du match à sa guise devant l’OM impuissant qui courrait après le ballon.

Il faudra digérer cette défaite avant d’aller à Reims samedi 29 mars pour la vingt-septième journée de Ligue 1 à 17 heures. Comme la saison dernière sur Prime Video, on peut parfois regretter les commentaires trop enthousiasmants et élogieux même un peu partisans pour le Paris Saint Germain pendant le « Classico ».

Gilbert DULAC

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