Publié le 5 septembre 2013 à 20h07 - Dernière mise à jour le 1 décembre 2022 à 15h48
« Tous les jours, notre ville ou sa périphérie sont meurtries par la violence. Un fléau qui
s’immisce partout, dans les rues du centre-ville, dans les hôpitaux…
L’heure est grave, le mal est profond. Nous ne pouvons pas nous contenter de commenter une situation qui serait funeste à la tranquillité et au développement de notre ville.Il y a urgence. Je renouvelle mon appel à l’union sacrée que j’avais lancé dès le mois de décembre dernier. Mettons-nous autour de la table, trouvons des solutions.
La sécurité n’est ni de gauche ni de droite. Elle est l’affaire de tous. Elle doit mobiliser avec plus de moyens encore l’action des services de l’État mais elle doit impliquer l’engagement de chacun. Mettons nos divergences politiques de côté et agissons au lieu de réagir une fois de plus. La violence secoue Marseille, c’est un gâchis. Faisons front commun pour une cause commune ».