Publié le 14 mars 2021 à 9h51 - Dernière mise à jour le 31 octobre 2022 à 15h31
La French Tech Côte d’Azur vient de tourner une nouvelle page de son histoire. Début mars, elle a adopté à l’unanimité ses nouveaux statuts et a réussi à rétablir l’harmonie entre ses quatre branches @CannesIsUp, #Grasse, @NiceStartsUp et @TelecomValley. Une sérénité qui tombe à point nommé dans le cadre de la mise en place d’une nouvelle présidence et d’une équipe renouvelée avant fin juin.
Il s’en est fallu d’un cheveu que la situation dégénère jusqu’au point de non-retour ! Après avoir frôlé l’implosion, la French Tech Côte d’Azur, présidée par Cédric Messina, a réussi à retrouver une certaine unité. Pour preuve, cette assemblée générale du mois de mars qui s’est déroulée nettement plus paisiblement que la précédente. C’est donc dans une atmosphère apaisée que les participants de la réunion Zoom ont pris un ensemble de décisions.
Les nouveaux statuts adoptés à l’unanimité
Une bonne nouvelle donc, d’autant que cette AG avait notamment pour ordre du jour la ratification des nouveaux statuts de l’association ou encore la définition du calendrier visant à préparer le remplacement du comité stratégique, jugé trop lourd, par un Conseil d’Administration de 12 membres, assorti d’un nouvel équilibre avec les quatre territoires. Heureusement, le travail effectué en amont, depuis février, avait permis de tout préparer, notamment au travers de concertations avec les différents territoires. Une bonne façon de mettre sur la table les attentes et les besoins de chacun.
Maintenant ratifiés, les statuts sont donc la première étape d’une feuille de route qui en compte trois suivantes :
• la mise en place du règlement intérieur au cours du mois de mars;
• une AG avant fin mai pour l’élection du bureau et des membres du nouveau Conseil d’Administration;
• une autre AG pour l’élection de la nouvelle équipe et du nouveau président qui mèneront la French Tech.
La French Tech azuréenne veut élargi son spectre
Désireux de s’ouvrir à de nouvelles idées, le Conseil d’Administration et le bureau envisagent prochainement de lancer un appel à candidatures aux startups qui seraient intéressées de les rejoindre dans le but d’impliquer d’autres énergies dans le mouvement. La French Tech azuréenne peut aussi être maintenant d’autant plus sereine, qu’elle ne craint plus la remise en cause en fin d’année de son label de « Capitale French Tech ». Il a en effet été récemment renouvelé jusqu’en 2022. Une nouvelle qui permet, dès maintenant, de travailler avec un peu plus de sérénité.
Mathieu Seller