Publié le 17 mars 2015 à 21h17 - Dernière mise à jour le 29 octobre 2022 à 13h44
Pourtant le week-end avait bien commencé, avec la présentation de mon livre «Droit au virage» au local des Yankee, ce vendredi 13, en présence de nombreuses personnes, dont plusieurs personnalités politiques, des amis de longue date, de nombreux journalistes (bises à ceux de La Marseillaise), les Yankee bien évidemment et André-Pierre Gignac. Michel Hidalgo, souffrant, n’ayant pas pu se déplacer m’a lu son intervention au téléphone. Nous fûmes donc partis pour un week-end de rêve. Dimanche toutes les sections étaient représentées pour se rendre au Vélodrome afin d’y mettre le feu comme il se doit. Ce qu’il fut fait à l’entrée des joueurs et pendant tout le match d’ailleurs. Une mention spéciale aux supporteurs lyonnais qui ont chanté à la mi-temps et une fois le stade vide, de peur peut-être que les chauffeurs de bus ne les oublient.
Un grand match de la part des Olympiens (il n’existe qu’un seul Olympique vous l’aurez deviné !) un poteau, un but et la victoire 1-0 ! Je me trompe: un poteau, un but et la victoire 0-0 ! C’est un nouveau concept inventé par les arbitres. Car on ne peut imaginer qu’il en aille autrement. De même, la présence du président lyonnais à la mi-temps dans le vestiaire des arbitres n’interpelle personne. C’est, soit parce qu’il fait des photos pour s’inspirer pour son stade; soit, parce que, pris par la tension du match, il profitait de la mi-temps pour se détendre; soit parce qu’il cherchait le Pitalugue… Mais non, bon sang, mais c’est bien sûr. Je sais, il n’avait plus de batterie pour son mobile, il est allé demander un chargeur à Monsieur Bastien. Car, comme nul ne l’ignore, trop de tweets tuent la batterie.
Allez l’OM